M a t h i l d e
Van Den B o o m

f a b u l a r i u m
[ les mains dans les poches ]
Ça marmonne et ça cacophone,
objets~mémoires de bric, de broc et de bords de chemin
qui vibrent d'histoires vieilles comme la pluie,
et nous emmènent, pieds nus dans la poussière d'étoiles,
dans les épines fleurant le bois de rose (caressantes, les épines),
sur les cailloux ronds d'une sagesse millénaire.
Faites-leur confiance, îles savent où îles vont.
(moi, pas toujours !)
spectacle des contes, semble-t-il
durée 45 à 60 minutes
pour résolument tout public
lieu où il vous siéra !


un spectacle qui n’aime pas les cages
Mais est-ce à proprement parler un spectacle ?
Tiens, apparemment, « Les Mains dans les poches »
n’aime pas non plus les étiquettes.
Essayons tout de même…
C’est un impromptu conté (il acquiesce),
polymorphe (là aussi),
qui se plaît à aller, le nez au vent,
les mains dans les poches,
sur les chemins du monde
(mouaif).
Qu’est-ce qu’il (ou elle, peut-être ?) aime, me demanderez-vous...
Île aime se transformer à l’envi, pour jouer avec les publics de tous âges.
Île aime collecter sur sa route des objets qui lui parlent
(car ille est persuadé.e que les objets ont une voix, voire une mémoire poétique).
Île aime raconter ces histoires,
vraies ou vraies,
tissées de fil blanc, vert ou doré,
à qui voudra bien les écouter.
Île aime inviter l’âme à se mouvoir.
(à dos d’âne)
(puisqu’il paraît que c’est ainsi qu’elle voyage).
Faites-leur confiance, îles savent où îles vont.
(moi, pas toujours !)